Calor calor

Depuis une semaine que je suis à Montréal, la température n’a pas vraiment cessé de grimper… Non pas dû à mon déhanché célèbre de professeur de salsa muy caliente, ni à ma toison rutilante en manque d’esthéticienne, mais simplement à cause de la météo, un truc de scientifique qui n’arrive qu’une fois tous les on ne sait quels temps.

Tout ça pour dire qu’il est dur de sortir en journée et que je me plais bien à siester en journée pur sortir à la fraîche. J’ai l’impression d’avoir du sommeil en retard, c’est vrai qu’avant je ne dormais pas beaucoup, mais ça, c’était avant !

Je profites donc de mes derniers jours de vacances, mais non je ne fais pas rien… Depuis une semaine que je suis arrivé à Montréal, j’ai créé une association, j’appartiens à une autre. Je suis bénévole dans deux organismes de développement personnel. J’ai gagné 12000$ en mettant à profit le savoir faire de petits immigrés asiatiques au service d’une multinationale sans scrupule. J’ai fait du squash, du golf, du lancer de nain, un peu de sport aussi… J’ai mis à mal les finances d’un multimilliardaire et j’ai sauvé le monde… Deux fois !

Inutile de vous dire que le paragraphe précédent est totalement fictif, mis à part la première phrase, et que j’ai fait un peu de sport aussi. Un peu de footing dans mon quartier, très sympathique avec des parcs un peu de partout, mais sous un soleil de plomb (j’ai même croisé une pancarte de prévention pour la canicule, si si c’est vrai !).

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Un petit goûter, qui n’a pas duré longtemps… =P

Qu’est ce que j’ai fait cette dernière semaine ? J’ai acheté un vélo !! Et ça c’est cool, par contre dû aux horaires de sortie de bureau, je n’ai pas pu reprendre le métro pour le chemin du retour… J’ai donc traversé tout Montréal à vélo et ça malgré la chaleur c’était assez chouette ! Encore une fois que de quartier différents, c’est une ville assez folle ;o)

J’ai aussi fait la queue pour obtenir ma carte d’assurance maladie. Et quand je dis faire la queue, ce n’est pas une expression… Rien de pervers là dedans, j’ai juste dû attendre une demi-heure pour avoir mon ticket qui me donne un numéro de passage (E10 pour moi). Une fois le dit ticket obtenu, il faut attendre dans une sorte de salle d’attente immense avec tous les numéros qui défilent sur des écrans… On voit du A quelque chose, du B, du K, du L, mais du E… ah si enfin. Au bout d’un moment je finis par passer et le reste devient juste une formalité !

A part ça j’ai lu, j’ai fait des soirées avec mes colocs, j’ai revu des feux d’artifices (excellents), j’ai croisé un ami bourguignon (encore) et comme dit mon coloc Loïc « 1, 2, 3, 4 bourguignons, il doit plus en rester beaucoup là bas… » Ha Ha !!! =D

J’ai appris certaines nouvelles choses et pratiques québécoises, notamment que les gens sont tellement courtois qu’ils font la queue pour monter dans le bus (et à peu prêt dans l’ordre d’arrivée des gens), fini les gros rush où tout le monde se monte dessus…

La chaleur nous quitte un peu pour laisser place à la soirée, je vais donc vous laisser pour l’instant, demain, je mettrais plus de photos, en attendant je vais… Et mais, où j’ai mis mon nez ??? ;o)

2 réflexions sur “Calor calor

  1. ‎=D,
    Hey un nez a été retrouvé au 3600 St-Laurent (coin Prince-Arthur). Je ne sais pas si c’est le tien, ni c’est un lieux que t’aurais eu à fréquenté dans un passé proche. En tout cas tu pourras peut être y trouver ton bonheur. Apparemment le propriétaire du nez l’aurai perdu en partageant un dessert avec deux autres personnes. L’odeur de la fraise fraiche et celle de la vanille émanant du dessert (dont j’ai oublié le nom en lisant l’article) auraient simplement happés le nez du monsieur sans même qu’il s’en rende compte. C’est fou hein comme histoire. [Et c’était tellement bon que monsieur aurait oublié de réclamer son nez en partant, NDLR]. De toute façon vue la force des diffuseurs d’odeur de pain chaud, de chocolat chaud, de vanille et de bonnes odeurs culinaires, je pense que même si c’est le tien tu ne devrais pas trop t’inquiéter. Ce nez est à l’abri de la chaleur de Montréal et surtout « il se mets bien ». C’est important un nez quand on viens d’arriver à Montréal, surtout pour faire la queue à la sécurité sociale (ah non… la RAMQ).
    En espérant que ce soit le tiens quand même.
    Bon courage jeune clown.

    • Comment ça il a perdu son nez !? Et puis lequel d’ailleurs ? pas celui de clown, j’espère … :o)
      Gros bisous à Jérémy et à sa toute nouvelle bande de copains !
      Hanicka

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